Départ : Entre les Aygues, Vallouise

Vue depuis le col de l'Aup Martin (Thierry Maillet - PNE)

Feuille de bouleau (Mireille Coulon - PNE)

Tronc de bouleau (Mireille Coulon - PNE)

Zygène transalpine (Mireille Coulon - PNE)

Zygène transalpine (Mireille Coulon - PNE)

Séneçon doronic (Bernard Nicollet - PNE)

Séneçon doronic (Bernard Nicollet - PNE)

Euphorbe faux cyprès (Catherine Boutteau)

Fourmi rousse sur une euphorbe (Mireille Coulon - PNE)

Gomphocère des alpages (Blandine Delenatte - PNE)

Aulne vert (Bernard Nicollet - PNE)

Rougequeue noir mâle (Jean-Philippe Telmon - PNE)

Chamois mâle dans le vallon de Celse Nière (Christophe Albert - PNE)

Cabri de chamois (Mireille Coulon - PNE)

La bergère de Jas Lacroix (Jean-Philippe Telmon - PNE)

Soin aux brebis (Jean-Philippe Telmon - PNE)

Prévenir le piétin... (Jean-Philippe Telmon - PNE)

Troupeau assemblé à proximité de la cabane de Jas Lacroix (Jean-Philippe Telmon - PNE)

Ânes dans le vallon de Jas Lacroix (Thierry Maillet - PNE)

La bergère de Jas Lacroix soigne une brebis (Jean-Philippe Telmon - PNE)

Rhubarbe des moines (Christophe Albert - PNE)

Rhubarbe des moines dans le vallon de Jas Lacroix (Thierry Maillet - PNE)

Rhubarbe des moines (Robert Chevalier - PNE)

Quatre bouquetins dans le massif des Cerces (Cyril Coursier - PNE)

Jean-Philippe Telmon anime une sorties observation des bouquetins (Pierre Masclaux)

Jean-Philippe Telmon anime des sorties - observation des bouquetins - dans le vallon de la Selle (Pierre Masclaux)

Bouquetin mâle (Mireille Coulon - PNE)

La cabane de Jas-Lacroix (Jean-Philippe Telmon - PNE)

L'abri randonneur de Jas Lacroix (Thierry Maillet - PNE)

Bergère de Jas Lacroix devant sa cabane (Jean-Philippe Telmon - PNE)

Brebis parquées près de la cabane de Jas Lacroix (Thierry Maillet - PNE)

Cincle plongeur (Mireille Coulon - PNE)

Cincle plongeur avec sa proie (Damien Combrisson - PNE)

Petite astrance (Bernard Nicolet - PNE )

Grenouille rousse sur un lit de mousse (Jean-Philippe Telmon - PNE)

Grenouille rousse et ponte (Thierry Maillet - PNE)

Saxifrage des ruisseaux (Bernard Nicollet - PNE)

Myrtilles mûres (Christophe Albert - PNE)

Myrtilles en fleurs (Christophe Albert - PNE)

Le vallon de la Selle (Robert Chevalier - PNE)

Feuilles d'Alchemille avec givre (Thierry Maillet - PNE)

Fourmis rousses des bois (Mireille Coulon - PNE)

Fourmi rousse des bois (Mireille Coulon - PNE)

Raiponce hémisphérique (Bernard Nicollet - PNE)

Marmotte des Alpes (Jean-Philippe Telmon - PNE)

Céraiste à larges feuilles (Marie-Geneviève Nicolas - PNE)

Céraiste à larges feuilles (Cédric Dentant - PNE)
Transport
Accès routier
Dans le village de Vallouise, prendre la petite route à droite devant l'église vers Le Villard et Puy Aillaud. Au Villard de Vallouise, continuer tout droit sur la petite route qui traverse le hameau et s'enfonce dans la vallée de l'Onde, passe devant la chapelle de Béassac pour atteindre le parking d'Entre les Aygues. Attention : cette petite route est fermée en hiver et peut être ouverte plus ou moins tôt au printemps en fonction des avalanches.
Lieux de renseignement
Maison du Parc de Vallouise

Information, documentation, maquette, expositions, projections, vente des produits et ouvrages du Parc. Visites guidées pour les scolaires, réservation obligatoire. La nouvelle Maison du parc a ouvert à Vallouise depuis le 1er juin et propose aux visiteurs une exposition permanente interactive invitant à la découverte du territoire et de ses patrimoines. Un espace d'exposition temporaire permettra une offre renouvelée. Enfin,le dispositif est complété par une salle audiovisuelle permettant d'organiser projections et conférences Entrée libre. Toutes les animations du Parc sont gratuites sauf mention contraire.
05290
Vallouise
Site web - Courriel - 04 92 23 58 08
Lat: 44.84641, Lng: 6.48839
Cet itinéraire est dans le coeur du parc national, veuillez consulter la réglementation.

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Sur le chemin…
Au bord de l'Onde, dès qu'on a passé la passerelle, le sentier de galets se faufile entre les bouleaux. Cet arbre est reconnaissable entre tous avec sa fine écorce blanche. En raison des goudrons qu'elle contient, l'écorce du bouleau reste intacte même quand le bois est pourri depuis longtemps. Elle a été utilisée comme parchemin et comme tanin dans les régions boréales. Chez nous, le bouleau était surtout utilisé pour confectionner des balais avec les jeunes rameaux.

Feuille de bouleau (Mireille Coulon - PNE)
Elle fait partie de la trentaine d’espèces de zygènes de France, ces petits papillons de nuit qui volent le jour et, dont les ailes allongées sont tachées de rouge sur un fond noir parfois bleuté. Ces couleurs vives annoncent leur toxicité aux éventuels prédateurs. Capable de soutirer de leurs plantes hôtes des composés chimiques proches du cyanure, les zygènes sécrètent ce poison par la bouche et les articulations dès qu’elles se sentent en danger.

Zygène transalpine (Mireille Coulon - PNE)
Au mois de juin, il ne passe pas inaperçu avec ses grandes fleurs jaunes telles des soleils au bord du chemin. Ses feuilles charnues, grisâtres, semblent avoir poussé au travers d'une toile d'araignée. Fin juillet, le séneçon doronic est méconnaissable : ses feuilles sont devenues vertes, débarrassées de leur peluche grise. Quant à ses fleurs, fanées, elles ont cédé la place à desakènes (« graines ») munis d'une aigrette blanche qui permet leur dissémination par le vent. Les anciens les comparaient à la chevelure d'un vieillard (senex en latin), ce qui a donné son nom de séneçon.

Séneçon doronic (Bernard Nicollet - PNE)
On l'appelle aussi « herbe à lait » à cause du liquide blanc et collant qui s'échappe de ses blessures, un latex toxique et irritant. On la reconnaît à ses feuilles étroites et molles et à ses fleurs originales, aux couleurs changeantes, regroupées en inflorescence. En y regardant de plus près, on distingue, au cœur d'une sorte de « coupe » composée de deux bractées, une fleur femelle réduite à une boule (l'ovaire) portée par un long pied, ainsi que des fleurs mâles chacune réduite à une étamine et quatre glandes à nectar en forme de croissant.

Euphorbe faux cyprès (Catherine Boutteau)
Dans l’alpage, au mois d'août, des dizaines de criquets sautent puis se fondent dans l'herbe à chacun de nos pas. Parmi eux, le plus original est sans doute le gomphocère des alpages surnommé « criquet de Sibérie » car il a une grande résistance au froid. Le mâle porte aussi le surnom de « criquet Popeye » car ses tibias antérieurs sont dilatés comme des ampoules. Sans ce détail anatomique et sans le long et uniforme « crè-crè-crè-crè » terminé par quelques « crè » isolés qu'il répète pour attirer une femelle, il pourrait passer inaperçu avec sa couleur oscillant entre le vert et le brun.

Gomphocère des alpages (Blandine Delenatte - PNE)
L'arbuste buissonnant forme d'inextricables fourrés, refuges pour les oiseaux et les chamois qui viennent y chercher fraîcheur et tranquillité. C'est un pionnier qui n'a pas peur de s'implanter dans les terrains raides et pauvres. Ses puissantes racines lui permettent de s'accrocher là où tout glisse. Sa souplesse lui permet de courber sous le poids de la neige, permettant aux avalanches de glisser sur lui. Ses chatons mâles pendent à maturité, exposant le jaune pâle de leurs fleurs. Les chatons femelles, donneront des fruits caractéristiques, sortes de petites pommes de pin d'abord vertes puis brunes, persistant toute l'année.

Aulne vert (Bernard Nicollet - PNE)
Monsieur Rougequeue noir arbore une calotte grise et une tache blanche sur les ailes, une queue et un croupion roux. Oiseau commun vif et actif, il aime les ambiances rocheuses et chasse sans cesse les insectes en vol ou au sol. Il lance de brefs cris d'alarme en ployant ses pattes, perché sur un rocher ou un mur de pierres. Son chant bavard ponctué de « froissements de papier » est caractéristique. Migrateur partiel, il s'observe en altitude pendant l'été mais descend dans les basses vallées pour passer l'hiver.

Rougequeue noir mâle (Jean-Philippe Telmon - PNE)
L'été, c'est aux heures les plus fraîches de la journée que l'on peut observer les chamois, occupés à brouter. Quand le soleil chauffe le vallon, ils préfèrent se coucher à l'ombre des aulnes verts, à moins qu'ils restent sur les névés. Leur ouïe et leur odorat particulièrement développés rendent leur approche difficile. Mieux vaut avoir des jumelles pour les observer ! Crochets des cornes très recourbés : c'est un mâle, un bouc. Crochets ouverts : c'est une femelle, une chèvre. Les cornes ne dépassent pas les oreilles : c'est un éterlou ou une éterle, jeune dans sa deuxième année. Cornes qui pointent à peine : c'est un chevreau.

Chamois mâle dans le vallon de Celse Nière (Christophe Albert - PNE)
Entre le col de l'Aup Martin et Entre les Aygues, le vallon de la Selle forme l'alpage communal de Vallouise. Pendant l'été, cet alpage est pâturé par un troupeaux de brebis, un troupeau de vaches, quelques chevaux et les ânes qui accompagnent la bergère. Le rôle de cette dernière ne consiste pas seulement à garder et guider les brebis sur l'alpage à l'aide des chiens. Elle les soigne aussi, notamment pour prévenir le piétin, une affection bactérienne des sabots qui pourrait se transmettre à la faune sauvage.

La bergère de Jas Lacroix (Jean-Philippe Telmon - PNE)
Autour de la cabane pastorale, la rhubarbe des moines forme un océan vert vif. Cette espèce partage avec le chénopode Bon-Henri et l'ortie dioïque un goût immodéré pour les fumures abondantes. Elle s'installe donc en vastes tapis touffus sur les reposoirs des troupeaux et autour des cabanes pastorales où elle élimine la plupart des autres végétaux par sa vigueur germinative et l'ombre humide de ses larges feuilles. Sur sa tige, les hampes florales aux allures de cierges sont composées d'innombrables fleurs verdâtres qui deviendront, à maturité, des fruits bruns, ailés et trigones. C'est une rhubarbe sauvage dont on peut cuisiner les pétioles des feuilles, charnus, juteux et acidulés.

Rhubarbe des moines (Christophe Albert - PNE)
Face à un danger, le bouquetin ne s'enfuit pas : il se réfugie dans une paroi rocheuse où il se croit à l'abri. Cette stratégie lui a permis pendant des millénaires d'échapper aux prédateurs terrestres. Mais elle s'est révélée inefficace face à l'homme après l'invention de l'arbalète et du fusil. Résultat, le bouquetin a failli disparaître au XIXe siècle. L'espèce ne doit sa survie qu'à la protection mise en œuvre par l'Italie en créant une réserve royale dans ce qui allait devenir plus tard le Parc national du Grand Paradis.

Quatre bouquetins dans le massif des Cerces (Cyril Coursier - PNE)
En 1995, quelques bouquetins ont été introduits dans le Champsaur. Depuis, la population s'étoffe lentement et peuple progressivement les vallées du massif. Un petit groupe de bouquetins vient passer la belle saison dans les falaises du vallon de Chanteloube qui surplombe la cabane du Jas Lacroix, en rive gauche. Le plus souvent perchés dans des falaises, ils restent difficilement visibles mais depuis la butte au-dessus de la cabane, avec une longue vue, on peut avoir la chance de les observer dans les rochers.

Jean-Philippe Telmon anime une sorties observation des bouquetins (Pierre Masclaux)
La cabane pastorale de Jas Lacroix est le lieu de vie de la bergère pendant l'estive. C'est là qu'elle regroupe le troupeau pour compter ou soigner les bêtes. A droite de la cabane se trouve un abri pour les randonneurs du GR54. Il est entretenu par un bénévole de la vallée. Merci de le laisser dans l'état de propreté dans lequel vous souhaitez le trouver en entrant.

La cabane de Jas-Lacroix (Jean-Philippe Telmon - PNE)
Trapu, queue courte, bec effilé, une plage blanche du menton à la poitrine, le reste du plumage entre roux et gris ardoise, voici le portrait de ce fantastique oiseau des torrents. Posté sur un gros galet en partie immergé, il se balance, queue dressée. Puis, le voilà qui plonge dans l'eau tumultueuse, tête la première. Il a la particularité de marcher au fond de l'eau, à contre-courant, en quête de nourriture : petits invertébrés aquatiques qu'il déloge en poussant les galets de son bec.

Cincle plongeur (Mireille Coulon - PNE)
Au sommet d'une tige divisée, fine et fragile, s'agite au moindre souffle quatre à cinq petites et délicates étoiles blanches. La petite astrance éclaire de ses ombelles les lieux ombragés qu'elle affectionne, sous les arbrisseaux de la lande. Ses feuilles en éventail, finement dentées tentent d'émerger de la végétation au bout de leur long pétiole.

Petite astrance (Bernard Nicolet - PNE )
Passé le verrou au-dessus de la cabane du Jas Lacroix, non loin du sentier qui conduit au col, un tout petit lac accueille des grenouilles rousses. C'est la grenouille la plus commune en montagne. Elle peut vivre jusqu'à 2800 m d'altitude, un record ! Elle porte un beau masque chocolat autour de ses yeux d'or.

Grenouille rousse sur un lit de mousse (Jean-Philippe Telmon - PNE)
Au bord de l'eau limpide du ruisseau, ses parterres d'étoiles jaunes attirent le regard. Les jeunes fleurs sont d'abord mâles et ne possèdent que dix étamines et un large disque luisant, rempli de nectar. Plus tard, une fois les étamines tombées, elles deviennent femelles et deux petits tétons apparaissent à la place du disque nectarifère, prêts à accueillir le pollen d'une voisine plus jeune. C'est cette plante qu'a choisi le petit apollon, un papillon rare et protégé, pour protéger ses œufs et nourrir ses chenilles.

Saxifrage des ruisseaux (Bernard Nicollet - PNE)
Cet arbrisseau ne s'aventure guère au-dessus des derniers arbres où il compose la lande qui recouvre le sol en compagnie d'autres arbrisseaux. Ses feuilles finement dentées et vert tendre, son bois toujours vert et ses fruits noirs, juteux et sucrés, qui teintent de violet la langue permettent de ne pas le confondre avec ses cousins. Ces baies sont un véritable trésor de la montagne aux multiples usages culinaires et médicinaux.

Myrtilles mûres (Christophe Albert - PNE)
Le vallon de la Selle est l'alpage communal de Vallouise où les éleveurs mènent leurs bêtes en été. L'alpage se répartit en plusieurs quartiers où paissent ovins, bovins et équins. Chaque groupe se déplace en fonction de la pousse de l'herbe, ne se mélangeant pas ou peu.

Le vallon de la Selle (Robert Chevalier - PNE)
Luxuriance du feuillage, élégance de ses cinq à sept folioles, sobriété de l’inflorescence, voici le « pied de lion satiné », une petite plante commune au bord du sentier. Ce surnom, elle le doit à la face inférieure argentée de ses feuilles. Ses fleurs sont peu séduisantes pour les insectes. Elle n'a pas besoin d'eux comme pollinisateurs. Ses graines se forment spontanément, sans fécondation : c'est l'apogamie. Est-ce pourquoi cette plante est utilisée en infusion par les femmes des hautes terres dans tous les domaines de la gynécologie ?

Feuilles d'Alchemille avec givre (Thierry Maillet - PNE)
Un dôme de brindilles grouille de vie au bord du sentier : une fourmilière en pleine activité ! Elle abrite en moyenne 300 000 fourmis rousses. Cet insecte social est un bijou de perfection : de puissantes mandibules pour creuser, couper, transporter ; des antennes pour communiquer et s'orienter ; trois paires de pattes antidérapantes pour se déplacer ; des yeux à facettes pour voir le monde en kaléidoscope ; une armure de chitine pour se protéger et un réservoir d'acide formique pour attaquer. Petite expérience : placer la main à ras de la fourmilière, sans la toucher. Laisser réagir les fourmis et toucher la main du bout de la langue... acide formique !

Fourmis rousses des bois (Mireille Coulon - PNE)
Si Raiponce est une star des contes de Grimm puis des studios Walt-Disney, elle est avant tout une jolie fleur bleue ! En montant au col de l'Aup Martin, c'est la raiponce hémisphérique que l'on peut admirer, dans les prairies et les rocailles d’altitude. Petite boule de pétales et d'étamines ébouriffés, d'un bleu violet luisant, elle est perchée au sommet d'une courte tige et entourée de longues et fines feuilles.

Raiponce hémisphérique (Bernard Nicollet - PNE)
Au détour du sentier, elle fait sursauter le randonneur de son sifflement aigu ! Elle vit en famille, composée d'un couple d'adultes dominants et de subordonnées issues de portées successives. Toilettage, jeux ou bagarres assurent la cohésion du groupe et le respect de la hiérarchie. Chacun participe à la délimitation du territoire en déposant crotte ou urine aux frontières et en frottant les joues contre les rochers pour y laisser son odeur.

Marmotte des Alpes (Jean-Philippe Telmon - PNE)
Elle illumine les éboulis d'altitude que les névés tardent à libérer. Collée et blottie contre la roche, elle épate les randonneurs qui admirent son feuillage délicatement velouté et ses fleurs à la blancheur pure dans cet univers gris. Mais comment peut-elle montrer une floraison si exubérante dans un milieu si hostile ? Sous l'amas de pierres, elle développe un important réseau de racines qui lui permet de puiser ses ressources vitales dans le sol gorgé d'eau de fonte des neiges. Elle produit aussi des rejets souples et rampants qui trouvent toujours à de fixer dans l'éboulis.

Céraiste à larges feuilles (Marie-Geneviève Nicolas - PNE)

Gomphocère des alpages (Blandine Delenatte - PNE)

Aulne vert (Bernard Nicollet - PNE)

Rougequeue noir mâle (Jean-Philippe Telmon - PNE)

La bergère de Jas Lacroix (Jean-Philippe Telmon - PNE)

Soin aux brebis (Jean-Philippe Telmon - PNE)

Prévenir le piétin... (Jean-Philippe Telmon - PNE)

Troupeau assemblé à proximité de la cabane de Jas Lacroix (Jean-Philippe Telmon - PNE)

Ânes dans le vallon de Jas Lacroix (Thierry Maillet - PNE)

La bergère de Jas Lacroix soigne une brebis (Jean-Philippe Telmon - PNE)

Quatre bouquetins dans le massif des Cerces (Cyril Coursier - PNE)

Petite astrance (Bernard Nicolet - PNE )

Saxifrage des ruisseaux (Bernard Nicollet - PNE)

Le vallon de la Selle (Robert Chevalier - PNE)

Feuilles d'Alchemille avec givre (Thierry Maillet - PNE)

Raiponce hémisphérique (Bernard Nicollet - PNE)

Marmotte des Alpes (Jean-Philippe Telmon - PNE)
Profil altimétrique
Altitude (m)
Min : 1599 m - Max : 2735 m
Distance (m)